À LA MAISON 
  • Je colle un Stop pub sur ma boîte aux lettres (disponible sur demande auprès du service de gestion des déchets ou des mairies) et j’économise près de 40kg de papier par an.
  • Je vends ou je donne mes vêtements ou objets dont je ne me sers plus (vides grenier, sites internet spécialisés,…). Je pense également achat d’occasion lorsque j’ai besoin de quelque chose (voir les associations locales de l’économie sociale et solidaire).
  • Je loue ou j’emprunte du matériel que je n’utilise qu’occasionnellement.
  • Je répare ou fait réparer mes objets en panne ou cassés.
  • Je bois l’eau du robinet (qui coûte jusqu’à 200 fois moins chère que l’eau en bouteille et réduit significativement ma quantité de bouteilles en plastique).
  • J’utilise des piles rechargeables. 
  • Je fais moi-même mes produits d’entretien (lessive, multi-usage,…) et cosmétiques (dentifrice, déodorant,…). Je connais ainsi mieux la composition des produits que j’utilise et je réduis les emballages.
À LA CUISINE 
  • Je planifie les repas.
  • Je dose les quantités selon le nombre de convives.
  • Je conserve les restes de repas dans des boîtes hermétiques pour les consommer lors d’un prochain repas. Je congèle pour allonger la durée de vie de certains aliments.
  • Je cuisine les restes avec de nombreuses recettes disponibles dans les livres de cuisine ou sur internet.
  • Je range le frigo selon les zones de froid pour respecter les conditions de conservation des différents produits.
  • Je classe les aliments selon leur date de péremption. Je fais la différence entre DLC (Date limite de consommation ou « à consommer jusqu’au – sur les produits frais) et DDM (Date de Durabilité Minimale ou « à consommer de préférence avant le » – sur les produits secs peu périssables).
  • Je teste la cuisine de certaines épluchures dans de nouvelles recettes (tarte aux fanes de radis par exemple).
  • Je composte les restes de repas et épluchures qui ne peuvent pas être conservés et consommés, ou je les donne aux animaux (poules, etc).
PENDANT LES COURSES
  • Je prépare une liste de courses afin d’éviter les achats superflus.
  • Je vérifie les dates de péremption. Si j’ai bien planifié mes repas, je peux m’assurer que le produit sera consommé à temps.
  • J’achète en vrac avec mes propres contenants(sacs à vrac, boites hermétiques, bocaux,…) pour ne pas avoir d’emballages à jeter.
  • Je choisis des écorecharges (savon,…).
  • Si cela sera consommé en grande quantité, j’opte pour les formats familiaux, avec moins d’emballages que les petites portions.
  • Lorsque j’ai le choix pour un même produit, je prends celui qui a le moins d’emballage et je paie souvent moins cher que son équivalent sur-emballé.
  • Je repère les produits labellisés qui garantissent notamment un impact environnemental moindre (label NF Environnement, Ecolabel européen, AB, Ecocert, etc).
  • Produits locaux, circuits courts (marchés de producteurs, etc.), produits de saison, produits bio, je suis sûr que mes produits sont de meilleure qualité (plus de fraîcheur, moins d’impacts environnementaux,…)
AU JARDIN 
  • Je conserve mes végétaux et les recycle dans mon jardin.
  • Je composte mes déchets végétaux (feuilles mortes, résidus du potager,…) et mes déchets de cuisine (épluchures, restes de repas,…). J’utilise ensuite le compost produit pour apporter de la nourriture au sol et aux plantes.
  • Je mulche ma pelouse : je ne ramasse pas la tonte mais la laisse sur place. En se décomposant, la pelouse nourrit le sol.
  • Je broie mes branchages pour en faire du broyat et je paille avec.
  • Je paille mon potager et mes haies : j’étale au pied des plantes sur quelques centimètres, pelouse, feuilles mortes, broyat, paille, etc. Grâce au paillage, je protège le sol, je nourris les plantes et j’accueille la biodiversité.
  • J‘accueille la biodiversité dans mon jardin. Hôtel à insectes, tas de branchages, bassin d’eau, haies champêtres, etc. Grâce à ces installations, j’attire les auxiliaires au jardin qui m’aideront à lutter contre les nuisibles.
  • Je jardine au naturel : avec de nombreuses solutions naturelles et adaptées, j’évite d’utiliser des produits phytosanitaires et solutions agressives pour la biodiversité.
  • J’installe des récupérateurs d’eau et j’arrose mon jardin avec l’eau de pluie.
EN SORTIE
  • Je n’oublie pas mes bons réflexes de la maison : j’emporte une gourde d’eau du robinet, je trie mes déchets (bouteilles, canettes,…), je ne jette pas de déchets par terre ou par la fenêtre de la voiture…
  • Lors des pique-niques, je pense aux ustensiles réutilisables : serviettes en tissu, vaisselle réutilisable, boîtes de conservation, gourdes…
  • Je prépare moi-même mes repas à partir de produits frais que je transporte dans des boîtes ou un emballage en tissu (furoshiki), plutôt qu’acheter des produits tout prêts et emballés.
  • J’opte pour des places dématérialisées et des abonnements.
  • Pour offrir un cadeau, je pense à l’achat d’occasion. J’emballe mon cadeau avec un emballage réutilisable (par exemple avec un foulard en tissu qui devient également cadeau – furoshiki). Je privilégie les cadeaux « événements » (bon pour un soin, activité sportive, place de concert,…) plutôt que des cadeaux matériels.
  • Je participe au ramassage des déchets dans la nature (mégots,…).
  • J’opte pour du matériel sportif de seconde main (vélo, roller,…).
AU TRAVAIL 
  • J’utilise des fournitures recyclées, recyclables et éco-labellisées (papier, crayons,…).
  • J’achète du mobilier et des fournitures de seconde main.
  • Je configure mon imprimante en recto-verso et en noir et blanc.
  • Je réutilise les feuilles en brouillon ou en cahier.
  • Je trie tous les déchets (papiers, emballages, piles, cartouches d’encre, cartons de colis, appareils électriques,…).
  • J’envoie les convocations et les comptes rendus en dématérialisé.
  • En réunion, je remplace les bouteilles d’eau par des carafes d’eau et des verres réutilisables.
  • Lors des pauses, j’utilise des tasses et de la vaisselle réutilisables.
  • Je supprime les dosettes et sachets individuels.
  • Je privilégie  les cafetières plutôt que les machines à dosettes.
  • Je composte les déchets organiques (marc et filtres à café, sachets de thé, épluchures, restes de repas,…).

Lors des déplacements, je privilégie la mobilité douce (marche à pied, vélo), les transports en commun (bus, train) et le covoiturage.

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